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15 mai 2012

Comment (bien) gérer sa love story

PERCIN, Anne. Comment (bien) gérer sa love story. Editions du Rouergue (collection DoAdo)

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Après l'été mouvementé que Maxime a passé (sa grand-mère a eu un malaise et a dû être hospitalisée), vient la rentrée. Maxime est désormais en terminale ES et ambitionne d'intégrer Sciences Po. Mais cette nouvelle année scolaire s'annonce riche en péripéties (et encore, ce livre ne raconte que le premier trimestre ! ) :

* Maxime doit préparer le bac.

* Maxime a désormais une petite amie, Natacha, étudiante psycho. Et autant vous dire tout de suite que ce ne sera pas facile tous les jours.

* Maxime a 18 ans et son ami Kévin organise la fête. On voit d'ici ce que ça peut donner.

* Maxime donne des cours à Gédéon, 8 ans, qui est autiste (pourquoi faire simple... ?)

* Maxime s'achète une contrefaçon de Smartphone (devinez la suite...).

* Maxime joue toujours de la guitare, il compose même. Son amie Alex dit que quand il chante, on dirait "Dark Vador qui s'est pris les couilles dans une porte". Mais il ne désespère pas de trouver un musicos aussi zarbi que lui pour former un groupe.

J'ai déjà dit sur ce blog tout le bien que je pensais de "Comment (bien) rater ses vacances", le premier opus des aventures de Maxime. Et je réitère avec ce deuxième volume (j'ose dire "deuxième" et pas "second", croisons les doigts ! ). Toujours autant d'humour avec des textes dignes d'Audiard (si, si), des situations toutes plus farfelues les unes que les autres, mais crédibles (je suis aussi poissarde que Maxime, je sais de quoi je parle !), et surtout, encore plus que dans le volume précédent, beaucoup de tendresse. Entre Maxime et Natacha, certes, mais aussi entre le jeune homme et ses parents, alors que ceux-ci découvrent que leur fils n'est plus le petit garçon qu'il était.

Une lecture très agréable donc, avec beaucoup d'éclats de rires, mais aussi de beaux moments d'émotion. J'attends le troisième, ne serait-ce que pour voir comment Maxime va sortir du pétrin dans lequel il s'est fourré à la fin de ce livre ! Les ados vont adorer le ton décalé, et les parents... eh bien, ça leur rappellera des souvenirs !

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